Bernard G. Blanc
Maire-adjoint du quartier Chartrons, Grand-Parc, Jardin public
Adjoint au maire pour la commande publique et l'emploi
Majorité municipale
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Contact
Contributions auprès de Bernard Blanc
- Sandrine Jacotot (adjointe au Maire) pour le quartier Chartrons, Grand-Parc, Jardin public
- Marc Etcheverry (adjoint au Maire) pour l'emploi
Bernard Blanc, humilité et sens du collectif
Bernard Blanc, maire adjoint du quartier Chartrons / Grand Parc / Jardin public © Frédéric Dorizon
Bernard Blanc est depuis cet été le nouveau maire adjoint du quartier Chartrons / Grand Parc / Jardin public : un territoire urbain très contrasté, où ce primo-élu, fort d'un long engagement, souhaite privilégier l'action de proximité, au service d'un cadre de vie plus apaisé.
À 61 ans, Bernard Blanc entame son premier mandat politique : une double casquette puisque, outre sa fonction de maire adjoint, il est également conseiller municipal délégué au budget, le tout en parallèle à son activité de cadre à la Direction des finances publiques de Dordogne. Une charge conséquente, mais vécue avec entrain comme « l'aboutissement d'un engagement humaniste de plus de trente ans, notamment au Parti socialiste, et sur le plan syndical ».
Dans son antenne municipale en plein coeur du Grand Parc, ce Bordelais ayant grandi à La Bastide n'est pas en terrain inconnu : la Salle des Fêtes, réouverte en 2018, fut un pilier de son adolescence, entre séances de ciné-club et concerts mythiques : « Menée par une équipe spécialement dévouée, elle offre un formidable outil au Grand Parc, et un précieux trait d'union avec le reste de la ville. » Tandis qu'il se familiarise avec les acteurs de quartier, Bernard Blanc souligne « l'extrême implication du tissu associatif », et pointe « le travail collectif exemplaire accompli par les associations pour faire vivre le festival Un été au Grand Parc Rivière » comme référence à « l'action concertée » qu'il souhaite privilégier.
Un périmètre contrasté
Le périmètre dont Bernard Blanc a désormais la charge couvre des problématiques contrastées : « Trois secteurs d'environ 11 000 habitants chacun, mais aux identités bien distinctes, et dont les habitants se côtoient assez peu. Or, pour développer une plus grande fluidité inter-quartiers, il faut déjà répondre aux enjeux propres à chacun. » Au Grand Parc, l'urgence porte sur l'insécurité, en nette accélération depuis le déconfinement, une délinquance qui se polarise autour du centre commercial Europe, dont la reconstruction compte parmi les grands axes du projet de renouvellement urbain en cours. « Cela suppose plus d'action de proximité, auprès des jeunes avant tout : renforcer la présence policière sous forme d'îlotage, fournir des locaux vacants aux associations concernées, impliquer davantage les parents, créer une synergie entre le centre social et le centre d'animation, favoriser les espaces verts et les jardins partagés… Les leviers sont multiples. »
Côté Chartrons, « la priorité concerne le manque d'équipements municipaux, comme les crèches ». À l'étude également, une vaste zone piétonne autour de la Halle des Chartrons, un écosystème social et solidaire (« social tech ») au Campus des Chartrons, l'aide aux associations culturelles, et globalement, plus de nature (îlot Vandebrande, rue Cantemerle…) et d'espaces de rencontre, tout en veillant à la quiétude des riverains. Enfin, dans le secteur du Jardin public, en pleine concertation avec les habitants : « il importe de réfléchir à un projet d'apaisement de la circulation – notamment rue David-Johnston, bordée d'établissements scolaires – en proposant des alternatives judicieuses au stationnement. »
À 61 ans, Bernard Blanc entame son premier mandat politique : une double casquette puisque, outre sa fonction de maire adjoint, il est également conseiller municipal délégué au budget, le tout en parallèle à son activité de cadre à la Direction des finances publiques de Dordogne. Une charge conséquente, mais vécue avec entrain comme « l'aboutissement d'un engagement humaniste de plus de trente ans, notamment au Parti socialiste, et sur le plan syndical ».
Dans son antenne municipale en plein coeur du Grand Parc, ce Bordelais ayant grandi à La Bastide n'est pas en terrain inconnu : la Salle des Fêtes, réouverte en 2018, fut un pilier de son adolescence, entre séances de ciné-club et concerts mythiques : « Menée par une équipe spécialement dévouée, elle offre un formidable outil au Grand Parc, et un précieux trait d'union avec le reste de la ville. » Tandis qu'il se familiarise avec les acteurs de quartier, Bernard Blanc souligne « l'extrême implication du tissu associatif », et pointe « le travail collectif exemplaire accompli par les associations pour faire vivre le festival Un été au Grand Parc Rivière » comme référence à « l'action concertée » qu'il souhaite privilégier.
Un périmètre contrasté
Le périmètre dont Bernard Blanc a désormais la charge couvre des problématiques contrastées : « Trois secteurs d'environ 11 000 habitants chacun, mais aux identités bien distinctes, et dont les habitants se côtoient assez peu. Or, pour développer une plus grande fluidité inter-quartiers, il faut déjà répondre aux enjeux propres à chacun. » Au Grand Parc, l'urgence porte sur l'insécurité, en nette accélération depuis le déconfinement, une délinquance qui se polarise autour du centre commercial Europe, dont la reconstruction compte parmi les grands axes du projet de renouvellement urbain en cours. « Cela suppose plus d'action de proximité, auprès des jeunes avant tout : renforcer la présence policière sous forme d'îlotage, fournir des locaux vacants aux associations concernées, impliquer davantage les parents, créer une synergie entre le centre social et le centre d'animation, favoriser les espaces verts et les jardins partagés… Les leviers sont multiples. »
Côté Chartrons, « la priorité concerne le manque d'équipements municipaux, comme les crèches ». À l'étude également, une vaste zone piétonne autour de la Halle des Chartrons, un écosystème social et solidaire (« social tech ») au Campus des Chartrons, l'aide aux associations culturelles, et globalement, plus de nature (îlot Vandebrande, rue Cantemerle…) et d'espaces de rencontre, tout en veillant à la quiétude des riverains. Enfin, dans le secteur du Jardin public, en pleine concertation avec les habitants : « il importe de réfléchir à un projet d'apaisement de la circulation – notamment rue David-Johnston, bordée d'établissements scolaires – en proposant des alternatives judicieuses au stationnement. »