Nadia Saadi
Maire-adjointe du quartier Bordeaux centre
Adjointe au maire chargée de l'accompagnement des mutations économiques
Majorité municipale
Adjointe au maire chargée de l'accompagnement des mutations économiques
Majorité municipale
Contact
Contribution auprès de Nadia Saadi
- Olivier Escots pour l'économie du fleuve
- Didier Cugy pour les professions indépendantes, libérales et l'artisanat
- Brigitte Bloch pour le tourisme et l'économie du vin
- Patrick Papadato pour le quartier de Bordeaux Centre
Nadia Saadi, engagée auprès des acteurs du quartier Centre
Avant l'appel de Pierre Hurmic en 2019, Nadia Saadi ne faisait pas de politique. Son engagement à ses côtés, elle ne l'a pas décidé à la légère : « Je ne supportais plus de voir la planète se dégrader sans rien faire. Si je me suis ralliée à Pierre, c'est par conviction mais aussi pour la personne qu'il est, avant d'être un politique ».
Installée à Bordeaux en 2006, mère de trois enfants, forte d'une belle carrière dans la banque, Nadia Saadi est une femme d'expérience. Un parcours au bénéfice certain pour la ville : « Ces dernières années j'ai occupé un poste de responsable RSE (responsabilité sociale des entreprises). Une expertise que j'applique désormais à la Mairie, où j'ai deux casquettes : chargée de l'accompagnement des mutations économiques, et maire-adjointe du quartier Centre ».
Comprendre les problématiques des riverains
Elle se rend chaque semaine sur un des quatre secteurs que compte Bordeaux centre, pour échanger, écouter, apprendre des autres.
Outre la propreté et le stationnement, un sujet revient souvent aux oreilles de l'adjointe : le besoin de dialoguer avec la municipalité, accru par la crise du Covid, qui isole. « Pallier ce manque, comprendre les problématiques et tenter d'y répondre, cela me passionne », confie l'élue. Qui rencontre-t-elle ainsi au quotidien ? « Des populations très diverses : commerçants, riverains, étudiants, restaurateurs, associations... On pourrait croire que ce centre patrimonial est juste un lieu de transit, sans vie de quartier. Pas du tout ! Il abrite des microcosmes, avec des habitants qui y vivent et y travaillent, et surtout, l'adorent. Relater leur histoire, sur les réseaux sociaux de la mairie de quartier notamment, me tient particulièrement à coeur. Tout comme végétaliser ce coeur de ville, l'animer, et renforcer son identité faite de multiples petits villages conviviaux. »
Pour que l'âme du Centre vibre
Permettre aux riverains de s'approprier leur quartier, de l'améliorer, est pour Nadia Saadi la clé pour que l'âme du Centre vibre à l'unisson : « J'ai une grande confiance en l'être humain. Ma mission est de m'impliquer aux côtés des Bordelais, de les aider à mettre en oeuvre les solutions qu'ils portent en eux ».
En particulier sur les sujets du quotidien, car elle a fait de trois grandes problématiques ses chevaux de bataille : le délabrement de certains immeubles, en particulier rue de la Rousselle, la complexité du quartier Mériadeck et son lot d'incivilités, et les conflits de voisinage liés à la population en déshérence (toxicomanes, sans-abris) place de la Ferme de Richemont.
Installée à Bordeaux en 2006, mère de trois enfants, forte d'une belle carrière dans la banque, Nadia Saadi est une femme d'expérience. Un parcours au bénéfice certain pour la ville : « Ces dernières années j'ai occupé un poste de responsable RSE (responsabilité sociale des entreprises). Une expertise que j'applique désormais à la Mairie, où j'ai deux casquettes : chargée de l'accompagnement des mutations économiques, et maire-adjointe du quartier Centre ».
Comprendre les problématiques des riverains
Elle se rend chaque semaine sur un des quatre secteurs que compte Bordeaux centre, pour échanger, écouter, apprendre des autres.
Outre la propreté et le stationnement, un sujet revient souvent aux oreilles de l'adjointe : le besoin de dialoguer avec la municipalité, accru par la crise du Covid, qui isole. « Pallier ce manque, comprendre les problématiques et tenter d'y répondre, cela me passionne », confie l'élue. Qui rencontre-t-elle ainsi au quotidien ? « Des populations très diverses : commerçants, riverains, étudiants, restaurateurs, associations... On pourrait croire que ce centre patrimonial est juste un lieu de transit, sans vie de quartier. Pas du tout ! Il abrite des microcosmes, avec des habitants qui y vivent et y travaillent, et surtout, l'adorent. Relater leur histoire, sur les réseaux sociaux de la mairie de quartier notamment, me tient particulièrement à coeur. Tout comme végétaliser ce coeur de ville, l'animer, et renforcer son identité faite de multiples petits villages conviviaux. »
Pour que l'âme du Centre vibre
Permettre aux riverains de s'approprier leur quartier, de l'améliorer, est pour Nadia Saadi la clé pour que l'âme du Centre vibre à l'unisson : « J'ai une grande confiance en l'être humain. Ma mission est de m'impliquer aux côtés des Bordelais, de les aider à mettre en oeuvre les solutions qu'ils portent en eux ».
En particulier sur les sujets du quotidien, car elle a fait de trois grandes problématiques ses chevaux de bataille : le délabrement de certains immeubles, en particulier rue de la Rousselle, la complexité du quartier Mériadeck et son lot d'incivilités, et les conflits de voisinage liés à la population en déshérence (toxicomanes, sans-abris) place de la Ferme de Richemont.