Groupe majorité municipale - novembre 2024
Une ville unie autour des solidarités
Le 5 octobre, la ville organisait Unisol, son premier festival des solidarités. Nous avons pu célébrer nos différences et rendre visible ce qui nous rassemble. De nombreuses animations (conférence, banquet solidaire, art engagé, forum des associations, remise de prix, inclusion handicap, concerts) ont mis à l’honneur les solidarités sur le territoire et réaffirmé leur importance. Faire de Bordeaux une terre inclusive, d’accueil et de solidarités est notre priorité.
Si les liens de solidarités sont puissants, ils ne peuvent pas se passer d’une prise en charge collective des risques sociaux et des vulnérabilités, mise en péril par les restrictions budgétaires qui menacent nos services publics, biens communs de notre société. En effet, le gouvernement veut faire payer aux collectivités la mauvaise gestion des comptes publics, dont l’Etat est le seul responsable. Bordeaux va devoir faire face à la perte d’environ 16 millions d’euros, correspondant à titre indicatif au financement du périscolaire ou à la facture annuelle des repas dans les écoles.
À Bordeaux, nous payons déjà le désengagement croissant de l’État, notamment en matière d’hébergement d’urgence dont il a la compétence. Nous avons déposé l’année dernière, avec 5 autres villes, un recours contre l’État pour faire reconnaître ses défaillances dans ce domaine car nous ne nous résignons pas à voir des personnes et des enfants dormir dans la rue.
Au-delà de l’urgence, c’est une action structurelle qu’il faut mener en mettant de l’action sociale dans toutes les politiques publiques. C’est le sens du label Bordeaux Terre de solidarités, regroupant les acteurs des solidarités et donnant une trajectoire à l’action sociale de notre ville. C’est aussi ce que nous faisons avec le doublement de la subvention au centre communal d’action sociale qui accompagne les plus fragiles, la mise à l’abri de 158 personnes dans notre patrimoine municipal, ou encore l’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation pour développer l’accès pour tous à une nourriture saine, locale et équilibrée.
En imposant ces coupes budgétaires, l’État menace donc des politiques essentielles voire vitales pour de nombreux Bordelais. Nous déploierons toute notre énergie pour sauvegarder ces biens communs.
Si les liens de solidarités sont puissants, ils ne peuvent pas se passer d’une prise en charge collective des risques sociaux et des vulnérabilités, mise en péril par les restrictions budgétaires qui menacent nos services publics, biens communs de notre société. En effet, le gouvernement veut faire payer aux collectivités la mauvaise gestion des comptes publics, dont l’Etat est le seul responsable. Bordeaux va devoir faire face à la perte d’environ 16 millions d’euros, correspondant à titre indicatif au financement du périscolaire ou à la facture annuelle des repas dans les écoles.
À Bordeaux, nous payons déjà le désengagement croissant de l’État, notamment en matière d’hébergement d’urgence dont il a la compétence. Nous avons déposé l’année dernière, avec 5 autres villes, un recours contre l’État pour faire reconnaître ses défaillances dans ce domaine car nous ne nous résignons pas à voir des personnes et des enfants dormir dans la rue.
Au-delà de l’urgence, c’est une action structurelle qu’il faut mener en mettant de l’action sociale dans toutes les politiques publiques. C’est le sens du label Bordeaux Terre de solidarités, regroupant les acteurs des solidarités et donnant une trajectoire à l’action sociale de notre ville. C’est aussi ce que nous faisons avec le doublement de la subvention au centre communal d’action sociale qui accompagne les plus fragiles, la mise à l’abri de 158 personnes dans notre patrimoine municipal, ou encore l’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation pour développer l’accès pour tous à une nourriture saine, locale et équilibrée.
En imposant ces coupes budgétaires, l’État menace donc des politiques essentielles voire vitales pour de nombreux Bordelais. Nous déploierons toute notre énergie pour sauvegarder ces biens communs.