Place des Martyrs de la Résistance (Caudéran)
Caudéran
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Allée pour chiens
Le nom de Caudéran viendrait peut être d’un ruisseau venu des hauteurs de Capeyron mentionné au 12e siècle, sous le nom de Coudeyran. Au Moyen Age l’actuelle ville de Caudéran était recouverte de pâturages et de vignes, le hameau qui s’y forma peu à peu était alors rattaché au faubourg de Saint-Seurin et dépendait des chanoines de la basilique.
Au 17e siècle et surtout au 18e, ce bourg s’étendant jusqu’à la rue de la Croix-Blanche, deviendra peu à peu le lieu privilégié des riches bourgeois et négociants bordelais qui y firent construire des chartreuses et bourdieux. En 1789, Caudéran devient une commune jouissant d’une indépendance administrative, la paroisse, cependant, demeura attachée au chapitre de Saint-Seurin. A partir des années 1880-1890 et jusqu’en dans les années 1930, on vit les riches habitants de la capitale girondine s’y installer. C’est en 1965 que Caudéran sera annexée par Bordeaux.
En 1822 le conseil municipal de Caudéran décida d’implanter une église. En 1842 la municipalité acheta le domaine de Bellecour pour y construire une église, son presbytère, une école, la mairie et une maison d’arrêt. Une chapelle provisoire, fut établie et inaugurée fin 1842. La première pierre de l’édifice religieux consacré sous le vocable de saint-Amand, un des premiers évêques de Bordeaux selon la légende, fut posée en 1845. Les travaux furent menés par l’architecte communal Henri Duphot (Bordeaux, 1810-1889) qui construisit une église de style néo-gothique. Les vitraux et la grande rose ont été réalisés par trois grands maîtres verriers bordelais, Joseph Villiet, Pierre-Gustave Dagrand, et Henri Feur.
L’avenue Saint-Amand fut ouverte en 1856 pour relier l’église à la route de Saint-Médart.
Prés de la place des Martyrs-de-la-Résistance, rue Fernand Cazéres, se trouve la salle des fêtes de la Pergola, rare exemple d’édifice public de style Art Déco. Ce bâtiment, comprenant une salle des fêtes de 800 places occupant le corps central de l’édifice, des salles de réunion et un gymnase installés dans les ailes basses couvertes en terrasses, fut construit de 1928 à 1932 par l’architecte communal Marcel Picard. Les sculptures incrustées dans les réserves des murs ont été réalisées par Edmond Tuffet qui a travaillé sur les chantiers du théâtre Fémina et celui de l’hôtel Frugès. Le décor qui se trouvait dans la salle des fêtes et dans le hall a pratiquement disparu ou a été largement altéré.
Au 17e siècle et surtout au 18e, ce bourg s’étendant jusqu’à la rue de la Croix-Blanche, deviendra peu à peu le lieu privilégié des riches bourgeois et négociants bordelais qui y firent construire des chartreuses et bourdieux. En 1789, Caudéran devient une commune jouissant d’une indépendance administrative, la paroisse, cependant, demeura attachée au chapitre de Saint-Seurin. A partir des années 1880-1890 et jusqu’en dans les années 1930, on vit les riches habitants de la capitale girondine s’y installer. C’est en 1965 que Caudéran sera annexée par Bordeaux.
En 1822 le conseil municipal de Caudéran décida d’implanter une église. En 1842 la municipalité acheta le domaine de Bellecour pour y construire une église, son presbytère, une école, la mairie et une maison d’arrêt. Une chapelle provisoire, fut établie et inaugurée fin 1842. La première pierre de l’édifice religieux consacré sous le vocable de saint-Amand, un des premiers évêques de Bordeaux selon la légende, fut posée en 1845. Les travaux furent menés par l’architecte communal Henri Duphot (Bordeaux, 1810-1889) qui construisit une église de style néo-gothique. Les vitraux et la grande rose ont été réalisés par trois grands maîtres verriers bordelais, Joseph Villiet, Pierre-Gustave Dagrand, et Henri Feur.
L’avenue Saint-Amand fut ouverte en 1856 pour relier l’église à la route de Saint-Médart.
Prés de la place des Martyrs-de-la-Résistance, rue Fernand Cazéres, se trouve la salle des fêtes de la Pergola, rare exemple d’édifice public de style Art Déco. Ce bâtiment, comprenant une salle des fêtes de 800 places occupant le corps central de l’édifice, des salles de réunion et un gymnase installés dans les ailes basses couvertes en terrasses, fut construit de 1928 à 1932 par l’architecte communal Marcel Picard. Les sculptures incrustées dans les réserves des murs ont été réalisées par Edmond Tuffet qui a travaillé sur les chantiers du théâtre Fémina et celui de l’hôtel Frugès. Le décor qui se trouvait dans la salle des fêtes et dans le hall a pratiquement disparu ou a été largement altéré.
Une nouvelle allée pour les chiens
Dès le 2 juin 2022, une nouvelle allée des chiens sera accessible afin que les propriétaires canins aient un lieu clos pour laisser leur chien en liberté permettant la sécurité des autres usagers et de l'animal tout en bénéficiant de bancs pour surveiller leur compagnon dans cet enclos.
Dès le 2 juin 2022, une nouvelle allée des chiens sera accessible afin que les propriétaires canins aient un lieu clos pour laisser leur chien en liberté permettant la sécurité des autres usagers et de l'animal tout en bénéficiant de bancs pour surveiller leur compagnon dans cet enclos.
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